&Abdul Kader El Janabi

Bagdad un petit matin de 1968

À Alphonse Girard

&

Parce qu’il pleuvait à Paris

Sens et images,

Alternances et pavés,

La lampe du ciel

Aux flammes juvéniles

Embrasa

&&&&&&&&& Entre Tigre et Euphrate

La paille de nos intellects

Et l’histoire tel un mystique en quête de nectar

.S’envola à la poursuite de son temps !

&

À Bagdad où les amants

Préféraient les plaisirs éphémère

Les instigateurs de l’instant

Depuis la fenêtre de leur cellule

.Rêvèrent de lointain

&

Mais hélas,

Les oiseaux du grand fleuve

Volaient rarement

& & & & &!&Après le coucher du soleil&